Elles sont logées à Bwegera dans la plaine de Ruzizi, à l’ouest du Burundi, suite à m’amélioration de la production de ces deux denrées en République Démocratique du Congo.
Par René Bagalwa en RDC
Elles sont logées à Bwegera dans la plaine de Ruzizi, à l’ouest du Burundi, suite à m’amélioration de la production de ces deux denrées en République Démocratique du Congo.
Par René Bagalwa en RDC
Le ministre national de l’Industrie, Aimé BODJI SANGARA, a effectué une visite de travail dans la plaine de la Ruzizi en territoire d’UVIRA le 15 septembre 2025. Le ministre qu’accompagnait une équipe technique de l’Agenda pour la transformation de l’agriculture en République Démocratique du Congo ((ATA-RDC), sous la supervision de l’Ingénieur Samy BACIGALE, chef de bureau de l’Institut internationale d’agriculture tropicale en Afrique (IITA), a révélé que le fonctionnement optimal de ces usines sera en marche dans quelques jours.
Malgré la guerre qui secoue cette région, les agriculteurs sont toujours à pied d’œuvre pour améliorer la production dans cette zone. Les petits producteurs sont accompagnés dans le cadre du ATA-RDC, avec l’appui technique de l’Institut International d’Agriculture Tropicale (IITA) et de l’Institut Africain de Leadership Agricole (AALI) en collaboration avec la société Bio Agro-Business (BAB) et les partenaires nationaux dont l’Institut Nationale pour l’Etude et la Recherche Agronomiques et l’Inspection Provinciale d’Agriculture du Sud-Kivu.
« Je veux m’investir personnellement pour que la construction des usines de transformation de manioc et du maïs se trouvant sur le site Volontariste Agricole de Bwegera soient finalisées afin d’absorber toute la production de manioc et de maïs dans la Plaine de la Ruzizi », a indiqué le ministre d’Etat Aimé Boji Sangara.
Les nouvelles techniques agricoles et des technologies améliorées dans le cadre de ATA-RDC ont permis d’accroitre les rendements de manioc de sept tonnes par hectare à 16 tonnes l’hectare, et le maïs de deux à plus de 4 tonnes par hectare.
L’ouverture de ces usines créera des emplois pour les jeunes et les femmes et réduire l’enrôlement des jeunes à risque par les groupes armés. Elles disposent des épluchures de manioc et de son de maïs comme aliments pour poissons et poules et de l’amidon de manioc comme matière première à la fabrication des spaghettis par les jeunes entrepreneurs d’Uvira et ses environs.
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