Ils ont reçu une formation de trois jours à l’initiative de l’organisation non-gouvernementale ODAS.
Ils ont reçu une formation de trois jours à l’initiative de l’organisation non-gouvernementale ODAS.
Du lit au bureau en passant par la rue et les transports, les défenseurs des droits sexuels et reproductifs (DSR) vivent dans les risques. La stigmatisation, l’isolement, les attaques verbales (propos haineux), menaces physiques peuvent être dirigés à l’endroit des défenseurs des DSR. Seulement, comme ils ont une mission noble à accomplir, ils ne doivent pas abdiquer. Et compte tenu de ce rôle, ils doivent s’armer d’outils, de rudiments, des connaissances qui leur permettent de savoir comment évoluer dans leur milieu souvent risqué.
C’est pour aider les défenseurs des DSR que l’Organisation non-gouvernementale le Centre ODAS, entendez, Organisation pour la défense de l’avortement sécurisée, basée en Côte d’Ivoire, a offert l’opportunité à cinquante défenseurs des droits sexuels et reproductifs de plusieurs pays de l’Afrique francophone.
La formatrice, Armande Koffi a entretenu les apprenantes pendant trois jours lors des séances de webinaire. Trois séances de trois heures chacune du 20 au 22 août 2025. Les défenseurs des droits sexuels et reproductifs doivent connaître le milieu dans lequel il évolue, connaître les lois et la réglementation qui y prévalent, connaître l’influence de chaque composante. Il doit éviter de s’exposer en reconnaissant ses limites. Privilégier sa vie au lieu de jouer aux héros. Rester discret. Privilégier le travail en réseau avec d’autres entités. Ne pas rester tard au bureau seul.
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