La structure basée dans l’arrondissement de Soa, reçoit plus de 50 clientes par an. Elles arrivent avec des complications telles que des saignements abondants et des infections et repartent complètement guéries.
Comment travaillent ces deux organisations, membres de la plateforme du projet de plaidoyer sur l’avortement sécurisé ACAC, de la Société de gynécologues obstétriciens du Cameroun ? Quels sont leurs résultats, leurs défis dans la lutte et l’accompagnement des survivantes des violences basées sur le genre ? Des réponses, dans ce reportage suite à une visite des sites le 12 mars dernier.
Par Adrienne Engono Moussang
Travaux scientifiques : comment améliorer l’utilisation des résultats coince
21/09/2024Plan d’occupation des sols : Arme contre l’accaparement des terres
30/03/2024Ce site nécessite l'autorisation de cookies pour fonctionner correctement.