Leur recrudescence est signalée du fait de la montée de chaleur ; mais depuis 2017, parce que logées dans le groupe des maladies tropicales négligées, leur prise en charge est un cauchemar pour les couches défavorisées, pourtant plus exposées.
Par Adrienne Engono Moussang
La révélation est d’une nouvelle étude des chercheurs de l'Institut Ineos Oxford pour la recherche antimicrobienne, en collaboration avec Epicentre sur des sujets admis dans un établissement hospitalier de Madarounfa. La Rédaction avec Epicentre
Travaux scientifiques : comment améliorer l’utilisation des résultats coince
21/09/2024Plan d’occupation des sols : Arme contre l’accaparement des terres
30/03/2024Ce site nécessite l'autorisation de cookies pour fonctionner correctement.